Jeff Bezos, le visionnaire derrière Blue Origin, a récemment partagé son ambitieux aperçu de l'avenir extraterrestre de l'humanité lors d'une discussion avec John Elkann, figure éminente de la lignée Agnelli d'Italie. Bezos a postulé que les gens habiteraient l'espace principalement par choix, déléguant le travail exigeant aux robots tandis que de vastes centres de données d'IA flotteraient en orbite. Cette déclaration audacieuse trace inévitablement des parallèles avec son homologue de l'industrie spatiale, Elon Musk, qui a constamment défendu la colonisation de Mars, projetant un million de résidents d'ici 2050. La question se pose alors : ces deux milliardaires sont-ils déconnectés des réalités actuelles, ou sont-ils au courant de connaissances qui échappent à l'individu lambda ?
L'optimisme de Bezos s'est étendu au-delà de l'espace, car il a également défendu avec force le boom actuel des investissements dans l'IA. Il l'a décrit comme une bulle "industrielle" bénéfique, la distinguant des vagues "financières" plus précaires. Sa conclusion rapportée, "Il n'y a jamais eu de meilleur moment pour être enthousiasmé par l'avenir", a probablement suscité, on l'imagine, un certain degré de scepticisme tacite parmi les participants réunis dans l'auditorium de Turin.